Édito : et si on parlait de climat ?
ÉDITO
Et si on parlait de climat ? Non pas du temps qu’il fait ou qu’il va faire au cours de ce printemps 2019 mais plutôt du dérèglement climatique dont les conséquences sur notre quotidien se font de plus en plus sentir. Les jeunes générations en ont conscience, du moins une partie d’entre elles. Elle entraîne d’autres comme a pu le démontrer la dernière marche pour le climat. Quel rapport avec le 29 mille lieux ? Eh bien, ces atteintes à l’environnement, cette pollution croissante sont les conséquences directes d’une société ultra consumériste, d’une mondialisation à marche forcée voulue et pilotée par les grands groupes industriels et financiers.
Or, ce magazine est tout à l’opposé. Aux grands centres commerciaux, nous opposons les commerces de proximité, ceux des centres bourgs et centres villes. À l’agro-industrie, nous opposons le savoir-faire des artisans, le talent des restaurateurs, les produits de terroir et de saison.
Pour autant, notre objectif n’est pas de stigmatiser ces modes de production. Nous estimons simplement qu’il n’y a pas de modèle unique, que la diversité est une richesse, que des méthodes de production artisanales, plus proches des consommateurs responsables, sont bien plus vertueux pour notre planète bleue et pour les générations futures.
C’est pourquoi ce magazine est né il y aura bientôt deux ans. C’est pourquoi nous avons voulu ce média au service des femmes et des hommes qui créent chaque jour la richesse de ce beau département, souvent battu par les tempêtes, plus que jamais debout et fier.
L’équipe 29 mille lieux magazine
Résin'Artex
Particuliers et industriels, un large choix de matières et de finitions
Jordan Cousin Teixeira a créé son entreprise de pose de revêtements de sols, Résin’Artex, à Arzano. Intervenant aussi bien dans le milieu industriel que chez le particulier, il propose un choix très large, tant en terme de revêtements que de finitions. Son credo, un travail de qualité dans le respect très strict des normes environnementales.
Pourquoi la résine ? « C’est un revêtement qui m’a toujours intéressé, en particulier sur le plan décoratif ». Jordan Cousin Teixeira s’est donc formé à la pose de cette matière au sein d’une « grosse entreprise sur la région parisienne : la pose de la résine, ça s’acquiert avec l’expérience ».
Aujourd’hui, après une dizaine d’années d’expérience, il a développé d’indéniables savoirs-faire qui lui ont permis de créer sa propre entreprise, Résin’Artex, qu’il a choisi d’installer en Bretagne parce qu’il estime « le marché très porteur : autant en région parisienne, la résine est un revêtement qui est très utilisé depuis très longtemps, autant en Bretagne, ce n’est pas encore très connu ni utilisé ». Et pourtant, la résine, epoxy ou polyuréthane, peut s’utiliser partout. Chez les particuliers, « j’en pose de plus en plus ». Et également dans l’industrie, notamment en agroalimentaire, il faut savoir qu’« un sol en résine est garanti 10 ans ».
Sols souples, PVC, béton ciré
En dehors de la résine, l’entreprise intervient dans la pose de revêtements de sols souples EPDM en granulats de caoutchouc, très prisés pour les activités sportives, ou encore de dalles PVC : « le PVC est une solution idéale pour la rénovation de magasins ou de bureaux demandant une pose rapide ».
Jordan a développé par ailleurs les Ultratop Mapei, un béton ciré décoratif : « ce sont des solutions esthétiques qui permettent d’accompagner tout type de projet, aussi audacieux soit-il, pour des constructions neuves comme pour de la rénovation ». Résin’Artex est agréé par le fabricant Mapei pour la pose de ce type de sol.
(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous pages 24 et 25 du 29 mille lieux n°7 !
Association des Vieilles Charrues
Rendre le moment plus beau à chaque fois !
©Vieilles Charrues / Olivier Ehouarne
« La terre s’arrête de tourner quand c’est Les Vieilles Charrues » ! En s’exprimant ainsi, Jean-Luc Martin, le président de l’association qui gère l’un des tout derniers festivals associatifs français, ne parle pas seulement de la vie des festivaliers. Il évoque le quotidien bouleversé de tout un territoire qui oublie ses habitudes pour se caler sur le rythme de la plaine de Kerampuilh. Commerçants, hébergeurs, etc., mais surtout les très nombreux bénévoles, qui placent leurs propres vies entre parenthèses le temps de l’événement.
Faire fonctionner le premier festival de France demande effectivement un certain investissement en temps, en énergie et surtout en passion ! «Le festival appartient à tout le monde, aux carhaisiens et à tous les bretons ! analyse Jean-Luc Martin. Les gens se donnent à fond pour cette parenthèse enchantée. Même les tensions qui peuvent exister dans les rapports quotidiens disparaissent! Certains répondent présents depuis la première édition et le feront tant qu’ils le pourront. Ils préparent du rêve, mais ce rêve est aussi pour eux ».
Au cœur de ce rêve, la programmation concoctée par les 15 salariés de l’association, dirigés par Jérôme Tréhorel. Face aux consortiums qui rachètent les grands festivals qui obtiennent ainsi l’exclusivité de certains artistes, il faut rester compétitif. « Notre solution, c’est d’étonner encore et toujours pour faire rêver les gens et les sortir de leur train-train quotidien ». L’éclectisme des propositions est l’une de ces solutions. Mélanger les genres promet à tous de belles découvertes. Quand trois générations dansent ensemble, quand des punks chantent « Emmenez-moi » avec Aznavour , c’est gagné !(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous pages 6 et 7 du 29 mille lieux n°7 !
Pour poser sa candidature en tant que bénévole, rendez-vous sur
https://www.vieillescharrues.bzh/page/jobs
L'ami ramoneur
Le souci d’un travail de qualité, le sourire en plus
Depuis le 1er octobre dernier, David Mens a créé son entreprise de ramonage, L’Ami Ramoneur, à Arzano. Une seconde vie pour cet artisan sellier qui a découvert son nouveau métier il y a quatre ans.
« J’ai découvert ce métier au sein d’une grosse entreprise pour laquelle j’ai travaillé pendant quatre ans ». David Mens y a acquis une certaine expérience et apprécié ce nouveau métier au point de décider de créer sa propre entreprise baptisée l’Ami Ramoneur. Pourquoi ce nom ? « Je voulais quelque chose de doux, convivial, parce que c’est vraiment quelque chose que je souhaite partager ». Opération réussie apparemment puisque « plusieurs clients m’ont dit m’apprécier en tant que personne, pas uniquement pour mon côté professionnel ». D’où ce slogan qu’il décline volontiers : « un travail de qualité, le sourire en plus ! »
Intervenant sur un large secteur allant d’Auray à Concarneau, David propose le ramonage de tout conduit de fumée : cheminée, poêle, insert, chaudière (bois, granulés, fuel, gaz). « J’effectue mes ramonages à 95 % par le haut. Après ma prestation, grâce à un travail soigné, pas de traces, personne ne peut savoir que je suis passé par là! ».(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous page 11 du 29 mille lieux n°7 !
L’AMI RAMONEUR
David Mens 02 98 71 73 29
Terre Océane, le GR 34, d'intérêt artistique
Peintres et douaniers sur le même chemin
Le GR34, l’un des plus longs sentiers de grande randonnée français, encore appelé « sentier des douaniers », longe l’ensemble du littoral breton sur plus de 2000 kilomètres. La portion qui traverse cinq des communes du territoire quimperlois révèle un large panorama des richesses locales. Rias, rivières, landes, plages, ainsi qu’un important patrimoine matériel -historique, religieux, portuaire, culturel… et gastronomique- seront mis en valeur le 30 septembre, lors de la célébration des cinquante ans de ce chemin côtier.
Dès la fin du XIXe siècle, attirés par sa situation entre mer et rivière, les peintres ont posé leurs chevalets dans les ports et sur la côte afin d’en immortaliser les paysages multiples. Pont-Aven, Brigneau et bien sûr Le Pouldu sont des lieux où plusieurs ont posé bagages, séjourné et créé. Au Pouldu, le chemin des peintres permet de mettre ses pas dans ceux des artistes et La buvette de la plage, de remonter le temps en s’immergeant dans leur quotidien reconstitué.
Le Pouldu, lieu d’inspiration des peintres
C’est sur les conseils d’un douanier que Paul Gauguin découvre le Pouldu dès son premier séjour en Bretagne, en 1886. Il y réside en 1889, 1890 et 1894. La buvette de la plage, pension tenue par Marie Henry, devient son asile et ses murs en garderont la trace. Il y côtoie Filiger, Meyer de Haan, Sérusier et bien d’autres artistes, aussi bien que les goëmoniers locaux.
Aujourd’hui, La buvette de la plage, reconstituée en maison-musée, est le point de départ incontournable de l’évocation du remarquable passé artistique de la station. Œuvres des peintres fidèlement reproduites sur les murs, installations sonores, jeux de lumière et mise en scène étudiée recréent l’atmosphère du quotidien des artistes et de leur hôtesse.
C’est avec un regard averti que le visiteur s’engage alors sur le Chemin des peintres. Deux boucles, de 2 et 5 km, mènent sur les lieux d’inspiration des artistes, signalés par des bornes. Un carnet de croquis (disponible à la maison-musée) permet aux promeneurs de faire parler certaines bornes interactives. Toute l’histoire de la station balnéaire du Pouldu à travers les siècles se déroule au gré de ce sentier : vestiges néolithiques, mât pilote, casemate, villas de la Belle époque…(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous pages 14, 15, 16 et 17 du 29 mille lieux n°6 !
OFFICE DE TOURISME DE QUIMPERLÉ TERRE OCÉANE
20 place de l’église 29350 Moëlan-sur-Mer – 02 98 39 67 28
www.quimperle-terreoceane.com
Sentier Nature
Le chemin du bien-être
Un magasin spacieux, clair et paisible, permet au fabricant de compléments alimentaires Sentier nature de diffuser ses produits dans un lieu entièrement dédié au bien-être, aux médecines douces et à la santé au naturel, où les vendeuses compétentes renseignent et conseillent à la demande.
Dans le laboratoire adjacent, les plantes en poudre scrupuleusement sélectionnées, bénéficient d’analyses complémentaires à chaque arrivée. L’élaboration des produits, sans excipients, est également très soigneusement suivie. Cette éthique explique la longévité de Sentier Nature qui vend sa phytothérapie dans la France entière depuis 25 ans.
Différentes gammes complémentaires ont aujourd’hui rejoint les gélules et ampoules qui améliorent respiration, défenses immunitaires, sommeil, mémoire, vision, etc. L’étendue de ces produits dédiés au bien-être passe par un important rayon de soins cosmétiques bio, dont une partie est consacrée à l’aloe vera. Mais aussi par l’aromathérapie, huiles essentielles biologiques et fleurs de Bach ; la lithothérapie sous forme de bijoux ou de décoration ; le matériel de relaxation, comme les bols tibétains ou les tapis de yogi et d’acupression, ou encore le feng shui de la maison. Auprès des tisanes, thé et miel, Sentier nature développe actuellement un rayon végan (chia, chanvre, ail noir, chou, cacao, etc.).(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous pages 34 du 29 mille lieux n°6 !
Koet'Inov Énergie
En bûches ou en granulés, le bois pour être bien au chaud
Fondée il y a 5 ans par Vincent Lelong, l’entreprise Koet’Inov est spécialisée dans le chauffage au bois. Pose, entretien, ramonage… Elle intervient dans le sud Finistère et dans le Morbihan. À bûches ou à granulés, les poêles sont prioritairement de marque française, les produits phares étant estampillés Hoben, conçus et fabriqués par l’entreprise Inovalp en Savoie.
« Cela fait plus de 10 ans que je travaille dans le domaine du chauffage domestique, rappelle Vincent Lelong. J’ai travaillé en tant que commercial quelques années avant d’opter pour l’indépendance et créer cette entreprise en novembre 2013 ».
Ses priorités, le bois comme combustible, car « disponible et à proximité », et du matériel fiable, robuste, économique et facile d’utilisation, avec en prime une volonté très ferme de vendre des poêles made in France. Ce n’est pas par hasard si sur les fourgons et la vitrine, s’affiche la marque Hoben. « Il nous fallait un produit référence et c’est un peu par hasard que j’ai découvert Hoben, par l’intermédiaire d’un ami ». Vincent a affiné ses recherches sur la marque avant de prendre contact avec l’entreprise en Savoie. « J’avais vraiment besoin d’être certain de mon choix sur les produits, sur la réactivité de l’entreprise, sur le service-après-vente ». Reçu par les dirigeants d’Inovalp, société basée à La Mûre, près de Grenoble, au coeur des Alpes Françaises, « j’ai eu des réponses à l’ensemble de mes questions et j’ai pu visiter l’usine ». Aujourd’hui, son choix s’avère payant : « les produits sont vraiment de grande qualité, et l’entreprise est très réactive ». En dehors des poêles Hoben, Koet Inov commercialise les produits Fonte Flamme, en chauffage à granulés, les poêles à bois Lorflam, Godin et Fonte Flamme, les poêles de masse Nunnauuni et Monolith, l’insert à bois Lorflam et la cuisinière bois Godin.(…)
Pour en savoir plus, rendez-vous pages 30 et 31 du 29 mille lieux n°6 !
Bois Zinc Extension
La charpente traditionnelle au service de la construction contemporaine
Charlie Guernalec a parcouru la France pendant des années afin, principalement, d’en restaurer les chefs-d’œuvre de l’architecture. On l’a vu sur les toits de Paris, mais également au château de Moulinsart à Viry, et sur bien d’autres sites patrimoniaux. Mais on l’a aussi vu sur de gros projets de constructions ultra-modernes. Désormais à son compte, il a choisi de s’arrêter à Trégunc pour y implanter sa société de construction et extension en bois et zinc, où il met son savoir-faire de charpentier-couvreur traditionnel au service de l’architecture moderne.
« Le métier de charpentier a évolué, on s’adapte pour répondre au marché actuel mais, sur le plan technique, il n’y a rien de nouveau. Les plus belles villes du monde ont été bâties sur des pieux en bois ! Un principe qui s’adapte parfaitement aux normes futures de la RT 2020*, déjà adoptées par le charpentier. La RT 2012 est aujourd’hui dépassée, mes constructions sont déjà passives. »
S’il maîtrise tous les champs de la construction bois, Charlie Guernalec a ramené de son tour de France une technique montagnarde traditionnelle dont il ne cesse de vanter les mérites et dont il fait sa spécialité : le poteau-poutre. Une structure porteuse à la charpente apparente en intérieur comme en extérieur, « qui fait preuve d’une portée extraordinaire ! ». Le poteau-poutre offre une grande liberté dans la gestion des espaces intérieurs et la taille des ouvertures, «qui seraient impossibles dans d’autres conditions ». De conception simple, aux finitions soignées, originales et esthétiques, les constructions de Charlie Guernalec répondent aussi à un besoin personnel de renouvellement : des projets chaque fois différents car, bien que portant la marque caractéristique de leur concepteur, ils sont adaptés aux aspirations de sa clientèle. « C’est bien plus intéressant de réaliser des projets personnalisés. Ma première démarche est de faire visiter les chantiers récents au demandeur qui y puise ce qui l’intéresse, ce qui lui correspond. Ensuite, nous adaptons ses demandes aux différentes contraintes afin de rendre le projet accessible. Les possibilités sont très larges et cela, quel que soit le budget! »
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Pour en savoir plus, rendez-vous pages 21 et 22 du 29 mille lieux n°6 !
Édito : moments festifs !
ÉDITO
Moments festifs en famille et/ou entre amis en plein cœur de l’hiver, les fêtes de fin d’année sont aussi des périodes aujourd’hui essentielles pour le commerce. C’est également le moment où les centres-bourgs et les centres-villes s’illuminent. L’occasion est belle de venir découvrir ces lieux de vie et de création car les boutiques des cœurs de bourg et de ville ont besoin de vous.
C’est ce à quoi incite le dispositif Kdo’Pass mis en place depuis 8 ans par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Quimper. Plus de 850 commerces y ont adhéré sur tout le Sud Finistère. Les entreprises et collectivités sont chaque année plus nombreuses à l’adopter. Puisse cette tendance se poursuivre car l’opération contribue réellement à soutenir l’économie locale et le commerce de proximité.
Cette proximité, vous allez, comme à chaque fois, la trouver dans ce nouveau numéro de 29 mille lieux. Les commerçants et artisans que vous allez découvrir nous font confiance. Ils attendent de vous qu’il en soit de même. Ces femmes et ces hommes ont choisi leur métier par vocation. Ils l’exercent avec passion et avec professionnalisme. Entrer dans une boutique de centre ville, faire appel à un artisan local, c’est faire vivre un territoire. Et ce territoire, c’est le vôtre, c’est le nôtre…
L’équipe 29 mille lieux magazine
Édito : Automne, entre mer et terre
ÉDITO
Nouvelle saison, nouveau numéro de 29 mille lieux et nouvelle invitation à poursuivre la découverte d’un département, d’entrepreneurs, commerçants, artisans installés dans ce bout du monde. Nous le répétons à l’envi, notre magazine n’a d’autre ambition que de mettre en valeur ce territoire et ces femmes et ces hommes qui l’animent et le font vivre au quotidien.
Ce numéro d’automne navigue entre littoral et intérieur, entre mer et terre, entre Le Pouldu et Carhaix. Carhaix au cœur du centre Bretagne, fief des Bonnets Rouges lors de la révolte du papier timbré en 1675, ancien carrefour du réseau ferré breton, capitale du Poher, qui accueille aujourd’hui le plus grand festival de musique en France, les Vieilles Charrues.
Un peu plus à l’Ouest, Rosporden, la bien nommée Cité des étangs. Comme à Carhaix, le chemin de fer a joué un rôle très important dans son développement industriel et commercial. Le train y passe toujours, contribuant à son dynamisme économique et commercial. L’environnement naturel y a été préservé, notamment en suivant la voie verte qui invite à la découverte et à la randonnée.
Randonnée qui est littéralement plébiscitée en Finistère, et tout particulièrement le GR 34 qui longe toute la côte. Cet ancien chemin des douaniers a séduit, à une époque, Gauguin, Filiger, Sérusier et bien d’autres. Ces artistes ont laissé leurs traces que l’office de tourisme Terre Océane invite à découvrir et à suivre au Pouldu le long du… chemin des peintres qui emprunte le GR 34.
Le Finistère, terre de culture ? L’Histoire en garde la trace indélébile. Le présent l’illustre au quotidien, ou presque. Alors oui, le Finistère est une terre de cultures. Une terre de vies tout simplement.
L’équipe 29 mille lieux magazine