Rendre le moment plus beau à chaque fois !

©Vieilles Charrues / Olivier Ehouarne

« La terre s’arrête de tourner quand c’est Les Vieilles Charrues » ! En s’exprimant ainsi, Jean-Luc Martin, le président de l’association qui gère l’un des tout derniers festivals associatifs français, ne parle pas seulement de la vie des festivaliers. Il évoque le quotidien bouleversé de tout un territoire qui oublie ses habitudes pour se caler sur le rythme de la plaine de Kerampuilh. Commerçants, hébergeurs, etc.,  mais surtout les très nombreux bénévoles, qui placent leurs propres vies entre parenthèses le temps de l’événement.

Faire fonctionner le premier festival de France demande effectivement un certain investissement en temps, en énergie et surtout en passion ! «Le festival appartient à tout le monde, aux carhaisiens et à tous les bretons ! analyse Jean-Luc Martin. Les gens se donnent à fond pour cette parenthèse enchantée. Même les tensions qui peuvent exister dans les rapports quotidiens disparaissent! Certains répondent présents depuis la première édition et le feront tant qu’ils le pourront. Ils préparent du rêve, mais ce rêve est aussi pour eux ».

Au cœur de ce rêve, la programmation concoctée par les 15 salariés de l’association, dirigés par Jérôme Tréhorel. Face aux consortiums qui rachètent les grands festivals qui obtiennent ainsi l’exclusivité de certains artistes, il faut rester compétitif. « Notre solution, c’est d’étonner encore et toujours pour faire rêver les gens et les sortir de leur train-train quotidien ». L’éclectisme des propositions est l’une de ces solutions. Mélanger les genres promet à tous de belles découvertes. Quand trois générations dansent ensemble, quand des punks chantent « Emmenez-moi » avec Aznavour , c’est gagné !(…)

Pour en savoir plus, rendez-vous pages 6 et 7 du 29 mille lieux n°7 !
Pour poser sa candidature en tant que bénévole, rendez-vous sur
https://www.vieillescharrues.bzh/page/jobs